Творческий проект по французскому языку "Наполеон Бонапарт" Руководитель проекта Калабердина Ольга Юрьевна

Презентация выполнена ученицей

11 класса МБОУ СОШ №8

Карпишиной Ольгой.

Учитель

Калабердина О.Ю.

Napol é on Bonaparte naquit en 1769 a la Corse. Il recut une education dans les ecoles militaires de Brienne et de Paris et devint officier d’ artillerie. En 1793, apr és la prise de Toulon, la ville, occup ée des contrer é volutionnaires soutenus de la flotte anglaise, Bonaparte, qui avait 24 ans, devint général .

Le Directoire confia à Bonaparte le commandement de l’arm é e, qui partit combattre les Autrichiens en Italie. La campagne fut brillante. Le jeune général devint tr è s populaire. Le Directoire l’envoya en Egypte à la t ê te d’une arm é e.

La France voulait occuper l’Egypte et couper son ennemi, l’Angleterre, de ses positions sur la mer Rouge. Mais la conquête ne réussit pas. Napol é on quitta son arm é e et revint à Paris pour prendre le pouvoir.

Premi è res campagnes de Bonaparte

Le 11 mars 1796, surlendemain de son mariage avec Joséphine de Beauharnais, le g énéral Bonaparte quitte Paris pour prendre le commandement de l’arm ée d’Italie . Il arrive à Nice et trouve son arm ée dans un é tat déplorable. L’ennemi occupe les Apennins. Le plan de Bonaparte, fort simple dans son ensemble, sera de s’enfoncer dans les montagnes pour séparer les ennemis. Par une s é rie de harangues enflammées il inspire à ses troupes un arbent désir de vaincre: “Soldats, vous êtes mal nourris et presque nus. Je vais vous conduire dans le plus fertiles plaines du monde. Vous y trouverez honneur, gloire, richesse”. Quinze mille Autrichiens se lancent, le 10 avril, à l’attaque d’une redoute française. Le défendre cette position jusqu’à la mort. Cette résolution héroïque sauve toute la campagne. Bonaparte fait une entrée triomphale à Milan le 15 mai.

Rentr é en France, le général discute avec le Directoire de l’invasion de l’Angleterre. Il comprend l’impossibilité de cette entreprise sans être maître de la mer et décide la conquête de l’Egypte. L’Angleterre doit perdre le monopole du commerce avec l’Orient. En outre, la France pourrait menacer l’Inde et dominer la Méditerranée.

L’Egypte passe pour être riche. Sa conquête semble facile. Bonaparte prépere lui-même cette expedition. Il rassemble une flotte immense. Une centaine de savants, don’t un mathématicien, un Chimiste, des dessinateurs, des ingénieurs et des géographes, prend part à la campagne.

La flotte quitte Toulon le19 mai 1798, s’empare de l’île de Malte, y laisse un garnison et parvient à Alexandrie, sans avoir rencontrer l’escadre anglaise commandée par Nelson qui cherchait à livre bataille aux Français. Alexandrie est prise après une courte iutte. Bonaparte proclame aux Egyptiens: “Je viens vous restituer vos droits, punir les usurpateurs. Je respecete Dieu, son prophète et le Coran”. Puis il marche sur Le Caire.

L’armée française arrive en vue des Pyramides où les Mamelucks se préparent àla batille. La victoire revient aux Français e t le lendemain Bonaparte entre au Caire. Il enrteprend à administrer le pays en respectant ses coutumes.

Mais Nelson, revenu à Alexandrie, attaque sur-le-champs l’escadre française dans la baie d’Aboukir et la détruit presque totalement. Ce désastre a pour effet de bloquer l’armée française dans le pays qu’elle venait de conquérir. Le prestige de la France en est diminué, le Sultan lui déclare la guerre. Bonaparte, suivant sa coutume, décide d’aller au-devant de l’ennemi.

La traversée du désert est pénible. Le siège de la forteresse de Saint-Jean-Acre épuise les forces de l’armée. C’est alors que la France est dans les journaux, apportés par les navires anglais, apprennent à Bonaparte que la France est dans une situation politique crinique. Il prend la résolution de rentre. Après son départ Le Caire et Alexansrie tombent, et l’Egypte est perdu pour la France.

Le coup d’Etat de 9 novembre 1799 remplaça le Directoire par le Consulat. Ce régime fut dirigé par troie consuls, mais c’etait le Premier consul Napoléon Bonaparte qui eut, en réalité, tous les pouvoirs.

Napoléon rétablit très vite l’ordre et la paix intérieurs. Il mit en application une constitution nouvelle, fonda la Banque de France, réforma l’administration et l’organisation judiciaire. S’ouvrirent les lyçee pour former les futurs dirigeants du pays.

En 1801 fut sign é le Concordat et le cultee catholique fut officiellement rétabli. En mars 1804 fut promulgué le Code civil ou “Code Napoléon” qui ressembla tous les textes des lois qu’il fallait respecter en France.

En 1804 Bonaparte se fit sacre empereur à Notre-Dame, par le pape, qu’il fit venir à Paris, et il y eut une cérémonie solennelle à Notre-Dame; mais l’empereur posa lui-même sur sa tête la couronne qu’il s’etait conquise. Un de ses anciens amis avait dit:” Cet homme sait tout, veut tout, et peut tout.” – Pendant dix ans en effet il réussit dans presque toutes ses entreprises.

Le Premier consul devint l’empereurNapoléon |er. L’Empire remplaça la République. Le calendrier républisain fut supprimé. L’empereur mena une politique autoritaire, voulait tout diriger et tout contrôler. La presse et l’imprimerie furent censures encore sous le Consulat.

Mais Napoléon |er fut, avant tout, un grand chef militaire. Penrant quinze ans il mena les guerres contre les rois d’Europe.

La raix, signée entre la France et l ’Angleterre ne dira pas et la guerre recommança. En 1805 la flote française fut vaincue à Trafalgar par amiral anglais Nelson, mais sur la terre la Grande Armée deNapoléon triopha. Le 2 décambre 1805, jour anniversaire du Sacre, Napoléon vainquit les Autrichiens et les Russes à Austerlitz.

La paix fut signée bientôt à Presbourg. La victoire d’Austerlitz devint le symbole d’une extraordinaire carrière militaire.

L’année suivante on entrait à Berlin, la Prusse était conquise, lea Russes déposaient les armes. La France, entourée de royaumes vaincus, comptait 130 départements pluplés de 44 milions d’habitants et couvrant 750 000 km².

Puis Napoléon triompha la Prusse à Iéna et Auerstaedt et la Russie à Eyiau et àFriedland. La paux fut signée à Tilsit le 8 juillet 1807. Seule l’Angleterre continuait à résister. Pour l’ affablir, Napoléon décréta le Blocus continental – il interdit le commerce entre l’Europe et l’Angleterre.

L’Empire qui s’étendît de la Baltique à la Méditerannée compta 130 départements et fut peuplée de 44 millions d’habitants. D’autre part, il y avait les Etats dépendents et gouvernés par des alliés ou par les membres de la famille d’empereur.

Peu à peu Napoléon se comporta comme un roi. Il faisait ses officiers victorieux barons, comts, ducs. Dés 1806 il commença à distribuer les trônes aux membres de sa famille. Puis il commença à choisir ses fonctionnaires parmis les anciens serviteurs de roi Louis XVI.

La famille impériale

La proclamation de l ’ Empire en 1804 élève au rang princier la proche famille de Napoléon. Les honneurs dont il la couvre ne cesseront de croître avec sa puissance.Frère aîné de Napoléon, Joseph, devient en 1806, roi

de Naples et en 1808 – roi d ’ Espagne. Repouss é par le peuple espagnol, il rentre en France en 1813. L ’ autre frére de l ’ Empereur, Louis, reçoit la couronne de Hollande, mais abdique en 1810, et Napoléon incorpore son royaume dans l ’ Empire. Son épouse, Hortense, était l ’ Impératrice Josephine. Napoléon avait t r ois soeurs. Elisa obtient la couronne du

grand-duch é de Toscane, s ’ entoure àFlorence d ’ une cour brillante et joue un rôle important dans les affairs de l ’ Itale. Pauline passait pour être une des plus jolies femmes de son temps. Mariée au prince Borfhèse, elle reçoit un duchné en Itale. Très attachée à son frère Napoléon, elle séjournera auprès de lui au cours de son exit à Eibe.

La famille impériale

La mère de Napoléon eut le titre, créé pour elle, de “Madame Mère”. Elle survivra à la plupart de ses enfants et finira ses jours à Rome, protégée par le pape.

L ’ Imp é ratrice Jos é phine était veuve du général de Beauharnais quand elle épousa, en 1796, le général Bonaparte. Leur union étant restée stérile, Napoléon, qui désire fonder une nouvelle dynastie, prend la décision de divorcer. Après avoir envisagé une alliance avec une soeur du tsar Alexandre I, Napoléon se détermine en faveur de Marie-Louise, fille de l ’ Empereur d ’ Autriche. La naissance, en 1811, du roi de Rome, fils de Napoléon, marque l ’ apogée de l ’ Empire.

La Guerre contre la Russie

Napoléon paraissait au sommet de sa gloire, mais en réalité la fin de l’Empire s’approchait. En 1812 commença la guerre avec la Russie. Le Traz, soutenu par l’Angleterre, s’attira de nouveau la guerre, et Napoléon, aveuglé par ses triomphes, pénétra en Russie à la tête d’une armée de 600 000 hommes.

Il espérait une victoire vite. Mais l’armée ftançaise cherchait en vain le combat: les Russes se retiraient et brûaient les villes et campagnes abandonnées. C’était la tactique du vide. L’ennemi ne fit front que sur la Moscou.

Après la bataille de Borodino, en septembre, l’armée française entra dans la capitale russe ville immpense et magnifique. Napoléon comptait trouver des vivres et un abri contre l’hiver: mais la même nuit, l’incendie allumé par les Russes fugitifs éclata aux quatre coins de la ville; les maisons en bois brûlaient comme paille, Moscou devint un brasier d’où l’armée eut peine à sortir. Alors vint l’hiver précoce et terrible, et les Russes reparurent pour harceler les régiments grelottants et affamés. Généraux et soldats furent héroïques, combattant, se défendant, se soignant, se sauvant les uns les autres; malgré tout une poignée d’entre eux seulement revirent la France. Les Français restèrent cinq semaines dans la ville abandonnée et incendiée.

En octobre, Napoléon ordonna la retraite. La Grande Armée se traîna vers l’Ouest dans le neige. Chaque jour elle laissait plus de morts, de prisonniers, de désertires. Ce fut un sésastre.

N apoléon au travail

Napoléon se lève vers sept heures du matin et pendant qu’il se rase, son secrétaire lui lit des extraits des journaux français et ètrangers. Les idées naissent au cours de cette lecture dans le cerveau de l’Empereur: ce sont des décisions à prendre, des ordes à donner.

Aussitôt qu’il a endossé son habit vert de colonel, Napoléon se rend à son cabinet. Au milieu de la pièce, assez étroite, est son bureau, meuble magnifique orné de bronze doré et supporté par des griffons également dorés. Au-dessous est une armoire

fermant à clé, oû, chaque fois qur Napoléon quitte la pièce, il place un portefeuille contenant des papiers précieux.

Dans cette armoire et sur le bureau, les papiers sont rangés par Napoléon lui-même dans un ordre méthodique et constant: là tout ce qui est relatif à la guerre, ici les budjets, plus loin les rapports de police, etc.

Les ministres ne sont pas admis dans le cabinet, Napoléon les reçoit dans une pièce voisine. L’impératrice Joséphine n’y est pas tolérée; Marie-Louise y viendra quelquefois, mais au grand déplaisir de l’Empereur, qui, par contre, y mènera le roi de Rome.

Avant le lever de l’Empereur le secrétaire a ouvert les lettres, les a lues et cassées de façon à les présenter en ordre à Napoléon, dès qu’il s’assoit dans son fauteuil de travail. Celui-ci jette par terre toutes celles qui lui semblent sans importance, puis il griffonne quelques mots en marge de quelques-unes et met les autres de côté.

Neuf heure approchent. Napoléon quitte le cabinet pour recevoir de hauts fonctionnaires dans la piéce voisine. Les entretiers ne sont jamais longs: en quelques minutes Napoléon s’est mis au courant de la question. La réception se termine vers dix heures. Napoléon court déjeuner dans un petit salon proche de son cabinet. Pendant ce repas, qui ne dire jamais plus de dix minutes, on introduit des savants, des artistes, des hommes de lettres, avec lesquels l’Empereur cause des dernières nouvelles. A peine Napoléon a-t-il avalé sa tasse de café, qu’il retourne s’enfermer dans son cabinet avec son secrétaire .

Il va dicter les réponses aux lettres importantes qu’il a mises de côté. Il commence à marcher lentement dans son cabinet, les mains derriére le dos. Cette promenade dure tout le temps de la dictée.

Napoléon aimait à dire que les diverses matières se trouvaient rangées dans son cerveau comme dans les tirois d’une armoire:”Quand je veux tl renseignement sur telle question, j’ouvre son tiroir; quand je veux dormir, je ferme tous les tiroirs”.S’il n’écrit que peu lui- même, l’Empereur signe tout. Il met Napoléon en toutes lettres au bas des lettre aux souverains, Napoléon pour les décrets. Vers six heures il quitte son cabinet et va prendre so n dîner en compagnie de l’Impératrice. Dans la hâte il peut prendre du premier plat qui se trouve à sa portée: il mange du dessert, du rôti, puis du potage..

Le plus souvent Napoléon se couche à minuit et dort trois heures d’un sommeil profond dans la plus profonde obscurité. A trois heures du matn il s’eveille, sonne son valet et se dirige vers son cabinet. Le secrétaire a été prévenu et il est à son poste, assis à sa table. Après le travail, comme il est cinq heures, il va se recoucher et redort jusqu’à sept heures .

Les rois européens s’unirent contre Napoléon. Il tenta de lever une nouvelle armée, mais en automne 1813 il fut battu à Leipzig et en 1814 la France fut envahie. Je 31 mars Paris fut occupé. Je 6 avril Napoléon abdiqua. Il quitta la France: les vainqueurs lui donnèrent un petite souveraineté - l’île d’Elbe. En France fut rétablie la monarchie, sur le trône monta le frère de Louis XVIII.

Un an après, le 1er mars Napoléon débarqua au golfe Juan avec quelques centaines de soldats. Le 20 mars il occupa le palais de Tuileries, laissé par Louis XVIII. Mais son second règne ne dura que cent jours.

Aussitôt les souverains alliés remirent leurs armées en route, Napoléon les rencontrant à Waterloo, village de Belgique, espéra les écraser; mais les Prussiens rejoignirent les Anglaits au moment oû ceux-ci pliaient; alors tout fut perdu, la vieille garde se fit massacrer pour protéger la retraite:”Rendez-vou!” lui criait-on. – “La garde meurt et ne se rend pas”, répondit l’un de ses chefs.

Napoléon abdiqua de nouveau, cent jours environ après son retour. Il demanda asile aux Anglais qui le traitèrent en prisonnier et l’envoyèrent au milieu de l’Océan, dans de Sainte-Hélène, oû il mourut six ans plus tard en 1821.